Non au piège à l’emploi du PS

Op 11 februari 2019, over deze onderwerpen: Français

Pour faire baisser le chômage le PS Bruxellois propose d’offrir environ 420 euros à tout demandeur d’emploi en formation, en plus de son indemnité normale. “Encore une fausse solution du PS à un vrai problème. Cette proposition crée une dépendance vis-à-vis des allocations et un piège à l’emploi structurel à Bruxelles”, disent Elias Kartout, tête de liste à la Chambre pour la N-VA à Bruxelles et Cieltje Van Achter, parlementaire Bruxelloise.

Si un demandeur d’emploi gagne autant en restant au chômage en suivant une formation, pourquoi irait-il encore chercher et accepter un emploi dans les métiers en pénuries à Bruxelles ou dans la périphérie ?

“Il faut appliquer à Bruxelles la même politique d'activation qu'en Flandre, en mettant l’accent sur les formations mais sans les recettes du PS auxquelles la Flandre a déjà mis fin depuis longtemps, car elles sont inefficaces et néfastes pour l’emploi”, déclare Van Achter.  

Le chômage est en baisse dans tout le pays, ainsi qu'à Bruxelles, grâce à la politique de redressement socio-économique de la coalition suédoise dans laquelle la N-VA était la force motrice. Mais le travail n'est pas fini. Nous devons poursuivre les réformes socio-économiques pour que notre économie et la création d'emplois privés continue de croître. “Cependant, le PS a annoncé la "reconquista" et a déclaré vouloir renverser toutes les réformes socio-économiques du gouvernement fédéral. Avec cette proposition, le PS prouve une fois de plus qu’il est le parti du déclin. Les recettes du PS ont appauvri Bruxelles pendant des années, il est urgent d’y mettre un terme”, conclut Elias Kartout.

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